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Tiphaine, developer membre du Betacowork design by Dimitri Pirnay


Dix-neuf pour cent. Voilà la part de la population féminine actuelle au Betacowork. Une progression part rapport aux débuts, certes, mais c’est encore trop peu. Mesdames, il est grand temps de rejoindre nos 19% de coworkeuses. De faire grimper ce chiffre à 50% (au moins !). Les betacoworkeuses ont besoin de vous. De votre soutien. Elles ont trop d’hommes à gérer. Ceci est un SOS.
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Une tendance mondiale

L’enquête mondiale sur le coworking (Global Coworking Survey) relève que deux tiers des adeptes du coworking sont des hommes. La raison principale de ce décalage est simple : les femmes sont encore moins nombreuses que les hommes à opter pour le statut d’indépendant ou de chef d’entreprise. Certains diront que l’esprit d’entreprise est quelque chose de plus typiquement masculin. Nous dirons plutôt, sans vouloir nous lancer dans la polémique, que la société, même si elle évolue dans le bon sens, n’est pas encore tout à fait adaptée aux femmes entrepreneures.

Les betacoworkeuses : qui sont-elles ?

Quel est le profil de ces femmes qui ont opté pour le Betacowork ? A l’instar de leurs camarades barbus (bon, d’accord, les hommes du Betacowork ne portent pas tous la barbe. Mais ils sont tout de même fort nombreux – un phénomène sur lequel nous reviendrons dans un article futur, promis !), les femmes travaillent dans des domaines variés, qui vont du marketing aux nouvelles technologies, en passant par le Web design, le community management, les ressources humaines, le journalisme ou la traduction. Nous avons aussi, par exemple, une coworkeuse qui s’est lancée dans la distribution de pain artisanal, une autre qui a lancé une startup dans le domaine de la restauration partagée, une autre qui accueille des étudiants américains venus faire un stage dans les institutions européennes, une autre qui est active dans le réseau startups.be… et la liste est encore longue !

Pourquoi le Betacowork?

Les motivations de ces dames sont, encore une fois, les mêmes que celles de leurs comparses masculins : elles en avaient assez de travailler seules chez elles et souhaitaient élargir leur réseau. Ensuite, une fois inscrites, la sérendipité a fait le reste : certaines se sont associées avec d’autres coworkeurs pour développer leur projet ou en lancer un nouveau, d’autres, d’abord arrivées comme stagiaires pour un membre du Betacowork, ont fini par rester, une fois leur stage terminé, avec un CDI en poche ou dans l’idée de lancer leur propre projet, etc.

Sara, la fée du Betacowork

femmesQui dit Betacowork dit bien sûr Ramon Suarez, le pape du coworking, auteur du Manuel du coworking, l’ouvrage de référence pour celui qui souhaite ouvrir son propre espace de coworking. Mais, c’est bien connu, derrière tout grand homme, il y a une femme. Et au Betacowork, cette femme s’appelle Sara.
Sara, c’est le bras droit de Ramon. Celle qui vous fera visiter l’espace lorsque vous viendrez faire votre journée d’essai. Celle qui vous aidera à organiser vos workshops. Celle qui anime la page Facebook du Betacowork. Mais aussi celle qui organise les désormais célèbres Jeudredis, ces after-work entre coworkers (diantre ! Que d’anglicismes !), qui nous permettent non seulement de faire connaissance en dehors du travail, mais aussi de découvrir tous les bars de Bruxelles (même si Sara a une très légère préférence pour le quartier Flagey).

Vous ne le regretterez pas

Mesdames qui nous lisez, sachez qu’au Betacowork, vous vous sentirez vite comme à la maison. Les femmes étant encore minoritaires, vous pouvez être certaine qu’elles vous réserveront un bon accueil. Quant aux hommes, soyez assurées qu’ils seront ravis de voir la présence féminine augmenter à votre arrivée. Les hommes du Betacowork sont non seulement tous beaux, intelligents, drôles, sensibles et riches, mais ils sont aussi particulièrement galants et prévenants et ne manqueront pas de vous aider à faire vos premiers pas dans notre espace de travail partagé. Parole de betacoworkeuse !